Démocratie et libertés : une perspective éclairée

Certains détracteurs prétendent que Résistance Helvétique n’est pas un mouvement démocratique, arguant que nous supprimerions la démocratie si nous pouvions accéder au pouvoir. Ils basent leur accusation sur l’idée que nous pourrions restreindre certaines libertés. Cependant, cette critique ignore une vérité fondamentale : dans une démocratie, le peuple a le pouvoir de modifier, voire de restreindre, certaines de ses propres libertés à travers des processus démocratiques.

Des précédents historiques

L’histoire nous offre plusieurs exemples où le peuple a, par le biais de la démocratie, choisi de limiter certaines de ses prérogatives. Prenons l’exemple des accords de Schengen. En votant pour ces accords, les Suisses ont volontairement accepté de renoncer à une partie de leur contrôle sur les frontières nationales, intégrant ainsi leur politique migratoire à une échelle européenne.
De même, le débat sur les « juges étrangers » reflète une dynamique similaire. À travers ces discussions et son vote du 25 novembre 2018, le peuple suisse a accepté d’abandonner certains de ses droits concernant la souveraineté judiciaire du pays.

Ces exemples démontrent que les Suisses, via des processus démocratiques, peuvent légitimement choisir de restreindre certaines libertés au nom d’un objectif plus large. C’est une facette fondamentale de la démocratie, qui permet au peuple de décider de sa propre gouvernance et des limites qu’il souhaite s’imposer.

Accusations de violence et de dangerosité

D’autres critiques nous accusent de haine, d’agressivité et même de dangerosité, en se basant sur le fait que certains membres de RH pratiquent des sports de combat ou le tir. Il est crucial de rappeler que ces activités sont largement répandues et socialement acceptées en Suisse.

Le tir, par exemple, est l’une des disciplines sportives les plus pratiquées dans notre pays. La Suisse a une longue tradition de tir sportif, étroitement liée à la défense nationale et à la culture helvétique. Quant aux sports de combat, ils sont couramment pratiqués par de nombreuses personnes dans divers clubs de MMA, boxe, et autres arts martiaux à travers tout le pays. Ces activités sont des formes de discipline personnelle et de développement physique, non des manifestations de violence gratuite.
Les gauchistes voudraient-t’ils les interdire dans leur monde idéal ?

Violence : Qui est vraiment coupable ?

Il est également pertinent de noter que la violence verbale et physique provient bien plus fréquemment des groupes « antifa ». Ces derniers n’hésitent pas à utiliser des slogans agressifs tels que « combattre le fascisme par tous les moyens nécessaires » ou « pas de quartiers pour les fachos ». Les actes de violence physique attribués à ces groupes sont également bien documentés. Selon les rapports des services de renseignement de la Confédération, les violences liées à l’extrême gauche sont plus nombreuses que celles attribuées aux nationalistes.

En conclusion

Résistance Helvétique est un mouvement qui respecte le processus démocratique et les choix souverains du peuple de Suisse. Les accusations de nos détracteurs sont non seulement infondées mais aussi souvent basées sur des généralisations et des préjugés. Nous prônons un engagement politique respectueux et défendons le droit du peuple indigène à décider de son avenir, tout en encourageant des pratiques sportives et culturelles ancrées dans les traditions suisses.

RH98

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