Relents de natiophobie parmi les gauchistes !
Nos adversaires politiques usent d’un moyen simple pour nous discréditer et neutraliser nos arguments : ils jettent l’anathème sur nous en nous qualifiant d’antisémites, de racistes, de fascistes, ou de malades atteints de tous types de phobies.
Cela les dispense d’admettre que l’on puisse avoir raison en nous transformant magiquement en désaxés à soigner en isolement.
Qu’avons-nous à répliquer ? Les traiter à notre tour de gauchistes ? de bien-pensants ? Ça n’aura aucun effet car vu qu’ils se croient, selon l’idéologie mondialiste, dans le camp du bien, nos objections de mal-pensants n’auront aucun effet sur eux et leur audience.
Nous verrons qu’il existe malgré tout des moyens de parer à ces attaques.
Une caractéristique commune à toutes ces insultes est leur signification très vague.
Commençons par la définition actuelle de l’antisémitisme selon l’IHRA¹ :
“L’antisémitisme est une certaine perception des juifs qui peut se manifester par une haine à leur égard. Les manifestations rhétoriques et physiques de l’antisémitisme visent des individus juifs ou non et/ou leurs biens, des institutions communautaires et des lieux de culte.”
Selon cette définition imprécise et les exemples qui la suivent sur le site de l’IHRA, la majorité de la population mondiale peut être qualifiée d’antisémite !
La même chose vaut pour le racisme, tant il va de soi que cet instinct domine pour tous les peuples. D’ailleurs, on constate que malgré la propagande massive pour le métissage que les pays occidentaux subissent en permanence², la grande majorité des couples qui s’unissent sont non-mixtes racialement.
De même, les 50.3 % de Suisses qui se sont exprimés contre l’immigration de masse en 2014 sont qualifiés par certains gauchistes de xénophobes !
Et qu’en est-t’il de l’accusation de fascisme ? À nouveau, ce terme, utilisé à toutes les sauces, englobe une multitude de mouvances actuelles ou passées. En effet, les différences sont innombrables si on considère les personnages historiques comme Mussolini, Hitler, Franco, Nasser, Castro³, et nos contemporains désignés comme tels comme Trump ou Salvini.
De nos jours, la définition du fascisme est très large : elle englobe tout opposant à l’idéologie mondialiste impérialiste immigrationniste qui domine malheureusement en occident.
De plus, nous serrions homophobes car nous sommes contre le mariage homo ou l’adoption par les couples de même sexe. Dans ce cas, nous sommes homophobes au même titre que la majorité du peuple Suisse actuel qui, par les lois qu’il valide, est sur notre ligne ! ⁴
En fin de compte, les définitions de ces divers qualificatifs pourraient être reformulées ci-dessous :
• Un antisémite est quelqu’un que des lobbys juifs n’aiment pas.
• Un raciste ou xénophobe est quelqu’un que des lobbys immigrationnistes et mondialistes n’aiment pas.
• Un fasciste est quelqu’un que des gauchistes n’aiment pas.
• Un homophobe est quelqu’un que des lobbys LGBT n’aiment pas.
• Un islamophobe est quelqu’un que des musulmans n’aiment pas.
Soyons donc fiers de ne pas être aimés par tout le monde !
Et soyons fiers, non pas d’être fascistes, mais fiers d’être traités comme tels par les mondialistes immigrationistes qui détruisent notre société, car cela nous prouve que nous sommes sur la bonne voie !
Et pourquoi ne pas s’engager dans cette bataille d’étiquettes en utilisants nous aussi nos termes en -phobe ? Les termes déjà existants (mais peu répandus) « fachophobie » et « natiophobie » seraient un bon début.
Alors ensemble, luttons contre la fachophobie et la natiophobie et disons non à l’intolérance des gauchistes et antifas à notre encontre et envers la majorité du peuple !
1 http://holocaustremembrance.com/resources/working-definitions-charters/working-definition-antisemitism?focus=antisemitismandholocaustdenial→ Français
2 http://ripostelaique.com/propagande-de-masse-le-metissage-est-lavenir-de-leurope.html
3 Livre de Maurice Bardèche : « Qu’est-ce que le fascisme ? »
4 La loi sur le partenariat (LPart), acceptée par le peuple en 2005, n’autorise ni le mariage, ni l’adoption pour les couples homosexuels.
RH98