Il n’y a plus de peuple.
On le sent. On le sait. La guérilla de tous contre tous est là, omniprésente. Chacun pour soi et Dieu pour personne. La solidarité n’est plus qu’un slogan publicitaire à usage exclusif de contrées lointaines et famélique. La fraternité n’est même plus un souvenir, à peine un vestige, une ruine mystérieuse, incompréhensible. Chacun pour soi... Voir l'article