Aarburg (AG) dépense le tiers de son budget dans l’aide sociale accordée à 5% de ses habitants.
Ses habitants dans le besoin ne sont la majorité du temps pas des Suisses mais des familles immigrées étant parfois installées dans notre pays depuis plus de 10 ans.
« Situé à 5,2%, le taux de personnes à l’aide sociale est pourtant bien moins élevé que dans les grandes villes, comparativement au 11,8% recensés à Bienne. Le problème, selon l’Exécutif, c’est que certains bénéficiaires coûtent cher, très cher et longtemps. Le chiffre de 580’000 fr. versé pour une famille irakienne établie là depuis 2004 est articulé. Suivent les 402’000 fr. mentionnés pour une famille turque soutenue depuis 2005. »
La charité veut que nous aidions en priorité les nôtres avant les autres. Dans ces cas précis, ces familles immigrées handicapent la communauté qui les a accueilli. L’aide sociale est faite pour aider les gens dans le besoin à s’en sortir et non pas à les entretenir dans une situation de parasitage.
Il est urgent que notre pays impose une durée limite pour l’aide sociale accordée aux immigrés. Il n’est pas normal que des familles touchent de l’aide de leur pays d’accueil pendant 15 ans.
Si après tout ce temps, ces familles n’ont toujours pas réussi à s’en sortir dans notre pays, c’est qu’elles n’y arriveront jamais. Leur permis de séjour devrait être, dans ces cas, révoqué.
L’homme a des droits mais aussi des devoirs. Nous n’avons pas à soutenir indéfiniment des étrangers ne faisant aucun effort pour s’en sortir.