2018, année du réveil européen ?
Malgré la censure ambiante, c’est un élan de liberté qui semble animer nos peuples depuis quelque temps, et bien au-delà de nos milieux dits « groupusculaires ».
Cela semble le cas au niveau national, dans certains pays d’Europe qui réagissent désormais à la crise migratoire, hors du bloc « V4 » (Pologne, Tchéquie, Slovaquie, Hongrie) qui était le fer de lance de l’opposition à l’invasion.
Faisons un petit tour d’horizon. La source des informations ci-dessous est kahlenberg.blog, un agrégateur de brèves européennes.
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En Allemagne, la ville saxonne de Cottbus, frontalière de la Pologne, a décidé de ne plus accepter de nouveaux migrants. En cause : la révolte des habitants et les affrontements violents réguliers. La ville, universitaire mais plutôt pauvre, loge 3’000 demandeurs d’asile sur une population d’environ 100’000.
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En Autriche, nous citerons tout simplement l’élection du nouveau gouvernement. Celui-ci a créé une « unité de protection des frontières » et souhaite lancer une politique nataliste. Nos camarades qui y ont voyagé ces dernières années ont sans doute pu constater que des contrôles aux frontières sérieux, et parfois musclés, y sont appliqués sérieusement.
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La Bulgarie rejette à son tour le plan de redistribution des migrants de l’UE. On les savait déjà opposés à cette question depuis plusieurs années.
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Au Danemark, de nouvelles mesures gouvernementales ont fait chuter les demandes d’asile de 84 % en deux ans. On rapporte également que le pays a quitté l’agence des Nations Unies pour les réfugiés, agence qui s’occupe de « transférer les réfugiés proches des régions en crise vers des pays tiers ». Et ceci sous une coalition des libéraux-conservateurs et du parti populaire… rejoint ensuite par les sociaux démocrates ! Comme quoi on peut être social sans devoir accueillir les Syriens du monde entier.
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En France est née l’OLRA, l’organisation de lutte contre le racisme anti-blanc. Elle veut s’attaquer notamment au racisme d’État, que l’on retrouve en politique ou dans les médias nationaux (Rokhaya Diallo, etc.), ou dans des événements tels que les conférences ou les camps d’été interdits aux Blancs qui se déroulent sur le territoire français.
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En Géorgie, le gouvernement remplace les noms de villages à consonance turque ou azérie par des noms géorgiens.
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En Hongrie, le pays résiste toujours face au diktat de Bruxelles et aux organisations de George Soros, qui ont des officines dans le pays. Un risque de corruption existe par rapport à de futures élections, durant lesquelles une opposition souhaiterait renverser Orbán. Le pays a également formé une alliance avec la Pologne,
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En Italie, on rapporte une alliance des droites, plusieurs révoltes de populations contre « l’invasion » de migrants, et un parachutiste connu en Italie qui dénonce la présence de « Bergoglio » au Vatican en ces termes : « L’ennemi est dans la maison ».
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Aux Pays-Bas, plusieurs actualités montrent que la population et certains politiciens se révoltent face à l’omniprésence de l’Islam.
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La Pologne, bien que profondément catholique, résiste toujours aux programmes du Vatican ou de l’UE sur les migrants.
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La Russie refuse l’accueil de migrants syriens et a approuvé une loi sur l’emprisonnement à vie pour recrutement dans des organisations terroristes.
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En Suède, le président du parti modéré compare son pays à une zone de guerre. Les policiers et l’armée réagissent enfin sur l’état dramatique de certaines zones du pays. Dans cette prise de conscience, on ose croire qu’ils vont enfin tenter des opérations.
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Enfin, la Suisse a exclu les bénéficiaires de l’aide sociale de la naturalisation. En outre, une nouvelle initiative de l’ASIN et de l’UDC pour une immigration plus modérée a été lancée, les signatures doivent démarrer ces jours.
Les élites cosmopolites qui parlent à Davos de « mondialisation inclusive » (J.P. Tricoire, PDG de Schneider Electric en 2017) doivent se sentir de plus en plus esseulées, et n’auront bientôt plus comme unique soutient que leurs chiens de garde obligés de les soutenir pour raisons professionnelles.
Car nous voyons que des voix hors du « simple peuple » se réveillent désormais : police, armée, médias, ou gouvernements.
En Suisse nous n’en voyons que les balbutiements, cela est dû au fait que la situation n’est pas encore critique, comme elle a pu l’être dans d’autres pays européens. Mais le peuple et les élites sauront-t-il se réveiller assez tôt ou faudra-t-il attendre une pénurie de nouilles dans les supermarchés ?
Quoi qu’il en soit, pour 2018 l’heure n’est plus à la déprime et à la constatation, mais à l’action. Nos idées triomphent un peu partout dans les consciences de l’ombre, mais notre pouvoir reste faible face à la machinerie de plus en plus répressive qui nous empêche de les exprimer au grand jour : réseaux sociaux, persécutions judiciaires etc.
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RH 45