L’excellence comme but.
Tendre vers l’excellence est une valeur qui s’est perdue en Occident.
L’embourgeoisement et l’individualisme du peuple n’ont fait qu’empirer les choses. La majorité des Occidentaux ne cherchent plus qu’à améliorer leur confort. La loi du moindre effort est reine. Se battre pour ses idées, s’entraîner dans un domaine, se cultiver ou même produire sa propre nourriture n’est plus à l’ordre du jour. Nous ne cherchons plus à nous améliorer constamment, à développer de nouvelles idées ou simplement innover. Nous nous contentons du minimum, tant que ça marche, c’est bon. Le seul moyen que le peuple se réveille est que son confort ne soit plus suffisant.
Les seules personnes qui essaient encore d’y arriver, dans le système capitaliste, sont attirées par l’appât du gain. Celles-ci ne recherchent que l’optimisation et non pas, l’excellence pure. Comme tous bons capitalistes, c’est le rapport qualité/prix qui doit être excellent. L’obsolescence programmée, la robotisation et la pression sur le monde ouvrier sont des exemples typiques de notre époque. Un exemple d’excellence en technologie se retrouve simplement dans la première ampoule électrique jamais fabriquée qui brille encore à ce jour depuis 1901. Depuis le siècle dernier, le profit a pris le dessus.
Cette valeur, comme beaucoup d’autres, a malheureusement changée et c’est à nous de l’inculquer à nos enfants afin qu’ils ne stagneront jamais dans le cycle du « métro-boulot-dodo » et chercheront constamment à s’épanouir et à découvrir de nouvelles choses. Ils tendront, tout simplement, à dépasser le simple confort.
Le nationalisme est cette recherche d’excellence à l’échelle d’une civilisation toute entière, où chaque personne formera un maillon à une chaîne des plus solides, qui servira à maintenir nos valeurs, nos traditions, notre terre et ainsi que notre culture soudée ensemble dans la plus grande des harmonies.