Le conseiller d’État valaisan à la sécurité a pris la bonne initiative de créer un groupe de travail afin de préparer le Valais à affronter toutes sortes de crises environnementales et sociétales.

Le survivaliste suisse Piero San Giorgio, auteur de plusieurs livres traitant des réactions à avoir en cas d’effondrement économique de notre société, a été logiquement choisi pour aider le canton du Valais dans sa mission.

Cette information devant normalement rassurer la population valaisanne sur l’importance que donne ses autorités politiques à la prévention contre les risques, se transforme dans la presse en accusation à peine voilée d’extrémisme ! (voir cet article du Temps, 29.11.2016)

En effet Piero San Giorgio a été invité par Résistance Helvétique au mois de mars dernier pour une conférence en Valais. Et c’est bien connu, les gens qui osent avoir de bonnes relations avec Résistance Helvétique sont forcément des extrémistes écoutant des chants de la Waffen SS tous les soirs avant d’aller se coucher.

Il est étonnant de voir à quel point cette accusation d’extrémisme de droite est insultante venant de la bouche des médias. Faire parti des gens ayant reçu cette étiquette vous rend plus criminel que n’importe quel assassin ou pédophile.

Résistance Helvétique ne s’est pourtant jamais présenté comme d’extrême-droite.

Extrême ? Nous sommes non violents, nous souhaitons réformer l’État afin de faire triompher une vraie démocratie proche du peuple et voulons le retour de quotas migratoires stricts. Qu’y a-t-il d’extrême là-dedans ?

Droite ? Sur les sujets sociétaux et migratoires, certainement. Mais qu’y a-t-il de droite à demander la renégociation des traités de libre-échange, l’instauration d’une caisse unique sociale ou la nationalisation complète des transports publics ?

L’appellation d’extrême-droite est donnée par le système politico-médiatique à tous ses adversaires afin de les décrédibiliser.

On apprend en effet dans notre culture helléno-chrétienne que la tempérance dans toutes choses est bénéfique tandis que l’extrême mène à la destruction.

Il est donc normal pour les partis au pouvoir de se déclarer de gauche ou de droite « modérée » tout en accusant leurs adversaires d’être des extrémistes afin d’éveiller la suspicion de la population à leur égard.

Les médias profitant d’un régime fiscal préférentiel de l’État ne sont pas impartiaux.

Résistance Helvétique propose de leur retirer leurs avantages et de les astreindre à indiquer au début de leur publication leur ligne politique officielle (socialiste, libéral, etc…) afin que les lecteurs ne soient pas trompés par de la propagande politique déguisée en article informatif.

Les publications se disant impartiales auront l’obligation d’informer leurs lecteurs sans parti pris sous peine d’amende.

Ces mesures nous semblent importantes pour proposer une information de qualité et libre à la population.

Ci-dessous la vidéo de notre conférence de Piero San Giorgio. Merci encore à lui pour la qualité de son intervention et pour son travail général au profit de la sécurité publique.