La naturalisation facilitée, qui est actuellement en vigueur en Suisse, est légitime puisqu’elle est disponible aux étrangers se mariant à des Suisses afin de fonder une famille. Nous pouvons constater là une démarche d’assimilation de la personne à la communauté suisse à travers son mariage.

C’est exactement l’inverse des étrangers de la troisième génération. Ces personnes, ne créant souvent pas de troubles dans notre société, ne sont pour autant pas des Suisses ! Nous considérons à RH la nationalité comme une identité et non comme un morceau de papier administratif à donner à tous les étrangers vivant depuis longtemps sur notre sol.

Si les étrangers de troisième génération ont besoin de ce changement constitutionnel pour obtenir une démarche de naturalisation facilitée ça signifie que ni leurs parents, ni eux-mêmes ne se sont mariés avec des autochtones.

Ces étrangers vivent donc dans des milieux familiaux communautarisés se mélangeant peu avec les Suisses.

Il n’y a alors aucune raison pour que ces gens puissent obtenir des procédures de naturalisation plus simple que ceux faisant parti de la deuxième génération.

Nous pensons à Résistance Helvétique que la nationalité doit se transmettre par le sang ou l’assimilation. Les enfants d’un couple de Français vivant depuis 30 ans dans notre pays resteront des Français tant que ceux-ci ne se seront pas mariés à des Suisses et n’auront pas abandonné leur ancienne nationalité.

La gauche voit le fait que des étrangers vivant en Suisse ne possèdent pas la nationalité suisse comme une discrimination à leur égard. C’est totalement faux !

Donner la nationalité à tous les étrangers bien intégrés sur notre sol revient à déformer la réalité par pure idéologie mondialiste.

Non, un Congolais n’est pas la même chose qu’un Suisse ou qu’un Chinois ! Chaque peuple a son identité propre et ce n’est pas un vulgaire bout de papier signé par la Confédération qui peut changer cette réalité.

Résistance Helvétique appelle donc ses membres et sympathisants à se rendre aux urnes le 12 février 2017 afin d’exprimer notre profond attachement à notre identité bradée une fois de plus par nos dirigeants.