Au Royaume-Uni, le nombre d’enfants qui ont consulté le NHS (National Health Service, le système de santé public) pour des problèmes liés à l’identité de genre a explosé ces dernières années. D’après les chiffres du GIDS (Gender Identity Development Service), le service qui s’occupe de traiter les problèmes liés au genre, le nombre de consultations de jeunes britanniques âgés de moins de 18 ans a décuplé entre 2009 et 2015, passant de 94 à plus de 900.

Ces chiffres ont été révélés suite à l’affaire, dans le Nottinghamshire, d’un petit garçon de cinq ans qui est revenu en classe habillé en fille. Des lettres ont été envoyées à ses camarades de classe et à leurs parents expliquant que ce garçonnet souhaite désormais être traité comme une fille.
Le conseil du Comté de Nottinghamshire a reconnu que les questions transgenres représentent un nouveau défi pour de nombreuses écoles, mais qu’il « soutient le discours d’égalité pratiqué par les responsables des établissements scolaires ».

Quant à Colin Pettigrew, le directeur de l’autorité pour les enfants, les familles et les services culturels, il a déclaré que « le transgenre est une caractéristique protégée par la loi, et qu’en conséquence les responsables d’établissements à travers tout le pays continuent, et doivent continuer, à convenir d’un plan clair pour soutenir les besoins des enfants et des adolescents transgenres ».

A noter que ces statistiques font aussi état de consultations d’enfants âgés de 3 à 4 ans, qui se sentent transgenre…
Il n’a pas été possible de trouver des statistiques pour notre pays, mais nul doute qu’elles vont dans le même sens.

Mais où va-t-on ? Comment notre société peut-elle être à ce point dégénérée que des enfants de moins de cinq ans souhaitent changer de sexe ?
D’aucuns diront que c’est normal, que ça a toujours existé, et que s’ils sont plus nombreux aujourd’hui c’est parce qu’on en parle plus et que c’est accepté.

Non. Un enfant de cet âge n’a pas de telles préoccupations, sauf si on le pousse dans ce sens. Comme par hasard, les enfants qui se disent « transgenre » ne sont pas répartis aléatoirement, mais se retrouvent groupés dans quelques écoles, des écoles qui soutiennent l’idéologie du genre.

Ce n’est pas parce qu’un petit garçon joue avec une poupée qu’il est une fille, ou qu’une fille qui joue avec une voiture est un garçon, et qu’il faut les inciter à changer de sexe, se bourrer d’hormones et subir une opération. L’ACP (American College of Pediatricians), une organisation officielle et respectée des pédiatres et des spécialistes de l’enfance aux États-Unis, a d’ailleurs publié récemment une déclaration intitulée « L’idéologie du genre nuit aux enfants ».

Les conséquences de ces délires ? Des hommes soit-disant « transgenre » qui se déshabillent dans les vestiaires des femmes, vu que selon leurs dires ils se sentent plus femme que homme, ou des lois aux États-Unis les autorisant à utiliser les toilettes correspondant à l’identité qu’ils ou elles auront choisi dans leur tête…

Mais que ce soit l’identité sexuelle, l’identité ethnique ou culturelle, le but est le même. La destruction de toute identité pour faire de nous des moutons désorientés, sans valeurs et sans repères, manipulables à volonté.
A nous de nous lever et de refuser la disparition de nos identités !

Quelques liens:
http://www.bbc.com/news/uk-england-nottinghamshire-35532491
http://www.breitbart.com/…/transgender-fad-rapidly-spreadi…/
http://www.acpeds.org/…/posi…/gender-ideology-harms-children