Qu’est-ce que Résistance Helvétique ?
Résistance Helvétique est un mouvement associatif dont l’objectif est la survie de la Suisse.
La Suisse est-elle donc en danger ?
Oui. Notre pays est confronté à une série de problèmes, qui vont en s’aggravant, et qui risquent, à terme, d’entraîner sa disparition en tant qu’identité. L’immigration de masse, l’importation de mœurs et cultures incompatibles avec les nôtres, la chute de la natalité, les pressions de l’ « Union européenne » comptent parmi les plus graves d’entre eux.
Résistance Helvétique est-elle un parti ?
Non. Les partis politiques font partie du problème, car ils ne représentent que des groupes d’intérêts particuliers. Nous, ce qui nous intéresse, c’est l’avenir du pays tout entier.
Alors que faire ?
Nous ne croyons pas que d’aller à la pêche aux voix pourra résoudre quelque chose dans les conditions actuelles. Nous devons avant tout travailler à la reconquête des esprits et des cœurs, c’est-à-dire agir en profondeur sur les mentalités. C’est ce que nous appelons le combat culturel, celui que nous devons gagner contre l’hégémonie idéologique de la gauche. Pour cela nous organisons de multiples activités (actions de terrain, séminaires, conférences, etc.). Nous ferons tout pour contribuer à faire se rencontrer les gens de bonne volonté, les unir et les former.
Que veut Résistance Helvétique ?
Nous luttons d’abord pour affirmer la réalité et la pérennité de la Suisse. Dans les écoles et les médias, on nous répète qu’elle n’existe pas, qu’elle serait seulement un marché, une collection disparate d’intérêts économiques, ou une invention de banquiers et d’industriels du ⅩⅠⅩᵉ siècle. Nous, nous défendons l’idée d’une Suisse qui perdure depuis plus de sept siècles et qui incarne l’union de communautés d’hommes libres, qui se sont juré fidélité. La Suisse est notre communauté et notre unité de destin.
Nous luttons pour le primat du Politique. L’État ne doit pas être une machine administrative et fiscale, soumise aux intérêts économiques de tel ou tel groupe particulier. L’État doit incarner la volonté politique et assurer l’avenir du pays avant tout.
L’avenir du pays passe par sa jeunesse. La chute de la famille et la dénatalité se révèlent être des catastrophes qui nous mènent à une mort lente. Nous voulons redonner à la famille la place qu’elle mérite dans notre société. Cela passera évidemment par des mesures de type social, mais surtout par une reprise en main de l’éducation.
Nous refusons toute immigration extra-européenne. L’explosion démographique des pays du Tiers-monde constitue une menace pour tous les peuples européens. L’immigration de travail d’origine européenne doit être subordonnée aux besoins de notre économie. Le principe de la priorité de l’emploi aux Suisses doit être appliqué dans tous les cas.
En économie, nous ne croyons pas aux formules magiques, qu’elles soient libérales ou collectivistes. Pour nous, une société équilibrée doit concilier le sens des responsabilités individuelles et les besoins de justice sociale.
L’objectif des services sociaux ne doit pas être de développer une société d’assistés, mais de soutenir nos compatriotes dans le besoin. Il est inadmissible que nos retraités doivent se contenter d’une AVS misérable, pendant que des sommes pharaoniques sont allouées à des familles allogènes qui n’ont jamais contribué en quoi que ce soit à notre communauté.
Notre environnement naturel et notre agriculture doivent être sauvegardés. Nous demandons tout particulièrement un effort de soutien à notre paysannerie.
Nous voulons que la liberté d’expression soit garantie et demandons que soient abolies les normes pénales qui la limitent (comme l’article 261 bis de la Constitution fédérale). Nous refusons que les médias publics, l’enseignement public et les universités continuent à être utilisés comme des outils de propagande et des centres d’endoctrinement du « politiquement correct » ou de toute autre idéologie.
Nous prônons avant tout la souveraineté de la Suisse. Pour cette raison, nous demandons le retrait des institutions et organes mondialistes comme la CEDH. En revanche, nous sommes convaincus que la Suisse peut et doit contribuer à une véritable Europe des Peuples et des Nations. Seule une telle Europe pourra sauver notre civilisation et rallumer la flamme de sa puissance.
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« Celui qui ne combat pas se rend complice »