Zootopie : la propagande pure dès le plus jeune âge
Voilà quelques mois déjà que ce film, pour les plus jeunes, bat des records au Box office. Celui-ci raconte l’histoire d’une lapine née dans un village où sa famille cultive des carottes. Cette dernière a rêvé depuis toute petite de devenir policière à Zootopie, grande citée cosmopolite où les animaux, qu’ils soient prédateurs ou proies, petits ou grands, vivent dans l’harmonie la plus utopique et dont le président est un lion et son adjointe, un mouton. Jusqu’au jour, où certains prédateurs deviennent mystérieusement sauvages ce qui instaure un climat de peur et de paranoïa chez les proies.
Ce petit résumé vous met déjà dans le bain. En résumé, les proies mettent tous les prédateurs dans le même panier ce qui nuit, évidemment, au rêve utopique du vivre ensemble qu’incarne Zootopie, soit le rêve des mondialistes. Cette citée incarne ce dernier en tout point : le vivre ensemble, tous ces habitants ne sont que des pions qui vont travailler et consommer sans aucune identité et des caméras sont postées dans tous les coins de rue.
Quelques fois, ils y font allusions au racisme comme par exemple traiter les lapins de mignons est proscrit, ou toucher la laine des moutons.
Un autre point qui ressort à la fin du film est que l’adjointe du président, une proie, avait tout manigancé pour prendre le pouvoir par une politique de peur (argument fréquemment utilisé par la gauche pour qualifier celle de droite) et destitué le président jusqu’au moment où les deux personnages principaux (une lapine et un renard qui tombent, bien sûr, amoureux) déjouent son plan.
Ce film aurait pu être sympathique pour la jeunesse s’il ne transpirait pas par tous les pores cette propagande de la vision utopique des mondialistes sur un fond sonore de Shakira, aux consonances africaines.
A voir par vous même pour vous faire votre propre avis. Vous ne serez pas déçu par le détour.