Les luttes en format malbouffe à l’emporter.

5 femmes agressées à Genève et voici que la gauche nous sert une soupe indigeste via la Tribune de Genève en date du 16 août :
« Comment en vient-on à taper une femme en pleine rue ? »

Nous ne disserterons pas sur la stupidité profonde du titre de l’article, il n’y a qu’à remplacer le mot femme par homme et vous avez l’agression de Saint-Jean commise le 7 janvier 2017. Un homme dans le coma, mais pas de « manifestation d’indignation ».

Nous ne voulons pas faire d’amalgames ou de raccourcis, mais il semble, très fortement, dans ces 2 évènements, que les agresseurs ne viennent pas seulement de la France voisine. Manuela Honegger pose la même question (Qui a tabassé les cinq femmes?) en y apportant une lumineuse réponse : on en sait rien, mais la responsabilité est portée par l’ensemble de notre société sexiste.
Ah bon ?
Et bien non, nous ne la portons pas. On ne porte pas les agissements criminels de quelques petites frappes.

Elle y relate ses propres problèmes. (Les cinq femmes on s’en fiche), nous écrit au sujet de pauvres tarés qui se sont masturbés et déshabillés devant elle.

La manifestation organisée à Genève (à noter la rapidité de l’opportunisme) contient quelques détails qui relèvent du comique : les organisateurs.trices (écriture inclusive über alles) qui sont presque tous des apparatchiks de la gauche à la gamelle avec hauts salaires : Stéfanie P. et Géraldine S. La deuxième nous dit que ce n’est pas un cas isolé mais que cela s’ajoute à une « longue liste » de violences faites aux femmes. Doit-on penser que son compagnon (autre apparatchik) a levé la main sur elle ? Pendant la manifestation quelques personnes portaient les panneaux avec le slogan « Smash Patriarchy », on se demande si l’anglais est devenu une langue nationale, mais on comprend bien d’où viennent ces slogans avec un parfum de cheeseburger. Le capitalisme en sauce ketchup à l’américaine avec comme importateur le marxisme culturel qui nous font parvenir les nouveaux combats de la « gauche ».
Un mélange vomitif de Coline de Senarclens avec de la vieille carne en sauce Gloria Steinem, soit de l’égocentrisme, du privilège de classe et le tout saupoudré d’un maximum de fric.

Non, le patriarcat n’existe pas et nous voyons par contre un vrai « oligarcat » : des femmes de gauche mariées à des potentats locaux (reproduction des rapports de domination?), des journalistes et « artistes » et des pseudo-victimes narcissiques qui ne sont que des caisses de résonnance pour cette nouvelle « conspiration ». Les criminels sont entre de bonnes mains.

Il nous manquait seulement notre petit copain Louis Dana pour poser une interpellation urgente en demandant pourquoi des « hommes » tapent des femmes.

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