La littérature nationaliste comme remède au mal être général.
À l’heure où l’Europe vit des temps difficiles, viols en série, attentats meurtriers, afflux sans précédent d’envahisseurs barbares venus d’Afrique et du Proche et Moyen-Orient, pour conserver une certaine clarté d’esprit, un certain sens de la liberté spirituelle, il faut, plus que jamais se réfugier, s’évader à travers les Arts, notamment la littérature.
Il existe une littérature nationaliste de qualité ! Même si le sytème d’éducation classique ne nous l’enseigne pas. Les plus grands noms francophones du siècle passé sont sans aucun doute Charles Maurras, Robert Brasillach, Lucien Rebatet, René Benjamin ou encore Maurice Bardèche. Et il y en a bien d’autres, il suffit de chercher un peu, les noms de Céline, de Châteaubriand ou encore de Bernanos apparaissent souvent dans notre milieu. Ou pour sortir de la francophonie, l’excellent Ezra Pound qui a donné son nom à un des mouvements nationalistes les plus avancés en Europe, Casa Pound.
Il ne faut pas oublier non plus les esprits brillants, à la plume exquise, qui nous sont contemporains. Il y a des jeunes qui resteront, qui marqueront notre époque comme Daniel Conversano dont le talent d’écriture est énorme. N’oublions pas non plus ceux qui ont écrit, jusqu’à lors, uniquement des essais politique, et qui pourraient, plus tard, nous régaler avec des romans ou autres poèmes… Toutefois nous n’avons peut-être pas le recul nécessaire pour établir une liste des écrivains nationaliste du 21e siècle.
La littérature nationaliste ne parle pas toujours de guerre, de politique et de sociologie. Les écrivains de notre bord savent parfaitement prendre leur distance et écrire des choses plus romantiques, plus lyriques,plus légères. L’amour et la mort sont des thèmes récurrents dans cette littérature.
Rien d’étonnant car l’amour est le moteur de notre combat, l’amour de la patrie, de la famille, du juste ordre des choses et notre histoire. La mort souvent présentée comme héroïque et nécessaire démontre notre idéalisme et notre fidélité.
Si les essais politiques de Charles Maurras vous paraissent lourds, si vous désirez vous évader, vous échappez quelques instants sans toutefois accepter de lire le travail d’écrivains gauchistes et millionnaires – et souvent mauvais- mis en avant par le système, nous vous conseillons « Les Sept Couleurs » de Brasillach ou « Les Deux Étendards » de Rebatet, deux romans légers et agréable qui vous sortiront provisoirement du marasme ambiant.
Si, en revanche, vous préférez le lyrisme poétique à la longueur parfois soporifique du roman, lisez les « Poèmes de Fresnes » de Brasillach dont certains vers vous apparaîtrons certainement comme familier. En voici, pour conclure, un extrait :
« […]
Quel don offrir à ma partie
Qui m’a rejeté d’elle-même ?
J’ai cru que l’avais servie,
Même encore aujourd’hui je l’aime.
Elle m’a donné mon pays
Et la langue qui fut la mienne.
Je ne puis lui léguer ici
Que mon corps en terre inhumaine.
[…] »
Les Poèmes de Fresne, Le testament d’un condamné, extrait, Robert Brasillach