Interview de notre camarade « l’Artiste Mal Pensant » effectuée par nos soins.
1) Quand et comment as-tu eu ton « déclic » nationaliste ?
– À l’école déjà, même peu cultivé, je me sentais instinctivement proche des idées « d’extrême droites ». Ce sont les réactions de mon entourage (camarades de classe, professeurs, etc…) qui m’ont mis la puce à l’oreille. J’ai donc commencé à étudier ce sujet dans la vie de tous les jours et cela m’a amené, après bien des détours à la doctrine du nationalisme.
2) Pourquoi as-tu choisi de militer à Résistance Helvétique et quels sont, selon toi, les points forts de notre mouvement ?
– J’ai décidé de me lancer dans un parti politique pour servir mon pays. Bien qu’utile, cet engagement n’était pas suffisant.
La politique politicienne se doit de respecter un certains nombres d’usages et de limites dans lesquels je ne pouvais que me sentir à l’étroit.
Résistance Helvétique est un mouvement sans concessions, guidé par un idéal, un absolu. Il est radical et surtout dynamique. Il canalise notre énergie et nous permet de la dépenser pour les causes qui sont justes.
Il n’est pas question d’électorat, d’intérêts divers et variés ou de profits financiers. Il n’est question que de servir une cause qui nous transcende et dépasse les petits individus que nous sommes.
3) Comment se présente selon toi la situation générale en Suisse ?
– Notre classe politique est émasculée, nos élites corrompues et le peuple abruti par la propagande mondialiste.
Le nationalisme est la seule solution et il est en train de renaître au travers des nouvelles générations que nous incarnons.
4) Tes dessins sont publiés et partagés dans le monde entier. Comment vis-tu ce succès ?
– Je relativise mon succès, il ne s’agit que d’une page facebook. Elle a le mérite de diffuser efficacement nos idées et de mettre en lumière certaines réalités au travers des réaction qu’elle suscite.
Je commence à me faire connaître au sein des milieux nationalistes et j’ai pu rencontrer certaines personnalités du milieu. J’en suis très honoré. Cela me fait connaître y compris de nos contradicteurs et j’apprécie énormément participer aux débats qui en découlent.
5) Quels sont tes futurs projets ?
– Je dois finir ma formation l’année prochaine et obtenir mon diplôme. Avant mes futurs projets, je dois vivre de manière autonome. Dès que je serai indépendant sur le plan financier, fonder une famille. C’est ce que doivent faire tous les Européens. Mais en attendant, continuer de dessiner et de militer activement pour la cause nationaliste.