On ne cesse de diaboliser les mouvements nationalistes et identitaires, soi-disant dangereux et violents.

Et pourtant, on en a eu – encore une fois – la preuve le week-end passé : la violence est bel et bien l’apanage de l’extrême gauche.

Dans la nuit de samedi à dimanche, la Reitschule à Berne a de nouveau été le théâtre de violences. Des individus, dont plusieurs masqués, s’en sont pris aux forces de l’ordre en leur jetant des bouteilles, des pierres et autres projectiles, blessant trois policiers.

Comble de l’ironie, les responsables de la Reitschule reprochent à la police une utilisation abusive de la force pour avoir osé riposter à coups de lacrymogènes et de balles en caoutchouc.

Eh oui, pour ces braves gauchistes on devrait pouvoir agresser les forces de l’ordre en toute tranquillité et sans que celles-ci ne réagissent. Mais au lieu de fermer et de raser ces repaires de sauvages, on continue de les subventionner. Cherchez l’erreur…