Sage décision qui fut prise alors, car les traditions et les coutumes forment le caractère et l’histoire de chaque peuple, c’est notre identité profonde. C’est également un élément marquant de notre fédéralisme; chaque canton possédant sa propre spécificité culturelle voire linguistique, cela contribua grandement à créer la superbe mosaïque qu’est devenue la Suisse.

Hélas, aujourd’hui certaines de ces traditions ne sont plus pratiquées, notamment en ville où la pression du mondialisme est la plus forte. En effet, la société de consommation méprise les coutumes au point de tout faire pour s’en débarrasser en essayant de la rendre « ringarde » ou « arriérée » aux yeux de la population et en inondant les cerveaux de divertissements aussi vains qu’imbécilisant, déconnectant de se fait le précieux lien entre passé et présent, vieux et jeunes, sagesse et vigueur.

Perpétuer les traditions est donc un acte de résistance à ne pas sous-estimer pour mettre à mal ce système nihiliste et cela doit être effectué autant que faire se peut par tout bon Nationaliste qui se respecte. Après tout : « Exister c’est combattre ce qui me nie » – Dominique Venner

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