Obscurantisme égalitariste et tyrannie woke

Le gauchisme contemporain, dans sa dérive la plus extrême, n’est plus un simple courant politique, mais un véritable obscurantisme égalitariste. Il ne cherche plus à améliorer les conditions de vie du peuple, mais à imposer une vision déconnectée du réel, où toutes les différences raciales et culturelles doivent être niées au nom d’un dogme idéologique. Il souhaite imposer une censure digne de l’URSS, érige la victimisation en mode de gouvernance et méprise toute contradiction. Son obsession pour l’égalitarisme ne vise pas l’équité, mais l’effacement de toute hiérarchie naturelle et de toute excellence. Derrière le rideau de la « justice sociale » se cache en réalité le nivellement par le bas, le refus de reconnaître le mérite, le travail et la tradition.

Les gauchistes modernes se transforment en véritables négationnistes de la race blanche : pour eux, l’identité ethnique européenne doit être dissoute, tandis que les autres peuples ont droit à leur fierté et à leur spécificité. L’homme blanc est prié de se taire, de se repentir et d’accepter sa disparition sous prétexte de « diversité ».

François Bousquet, lors de son entrevue avec Haltérophilo en juillet 2024¹, a employé un terme particulièrement pertinent pour désigner cette caste de bourgeois-bohèmes gauchistes : les bobolchéviques. Ces petits tyrans de salon, bien installés dans leurs quartiers gentrifiés, imposent à la population des politiques dont ils ne subissent pas les conséquences. Ce sont eux qui prônent l’ouverture des frontières, tout en mettant leurs enfants dans des écoles privées. Ce sont eux qui soutiennent les quotas, sauf quand il s’agit de leur propre carrière. Ce sont eux qui dictent la morale, tout en méprisant les classes populaires qu’ils prétendent défendre.
Leur arme favorite ? La diabolisation. Pour eux, toute critique de leur vision du monde relève de la « haine », du « fascisme » ou de la « désinformation ». Ils n’argumentent pas, ils condamnent. Ils ne débattent pas, ils censurent².

Face à cette entreprise de destruction, il est essentiel de renouer avec les valeurs fondamentales de notre civilisation. L’identité, la famille, la patrie, le mérite et l’ordre ne sont pas des reliques du passé, mais les piliers sans lesquels aucun peuple ne peut survivre. Il est urgent de dénoncer ces dérives et de refuser que la Suisse, et plus largement l’Europe, ne sombre sous le poids de cet obscurantisme pseudo-progressiste.

Nous devons reprendre possession de notre destin et combattre, avec fermeté et lucidité, l’influence néfaste des bobolchéviques et de leur tyrannie idéologique. Il est temps de refuser cette doxa et de remettre la vérité et la liberté au cœur du débat public !

1 Entrevue François Bousquet 19’00”
2 https://x.com/XIII77IIIX/status/1891550996297363532

RH98

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