Contre la dévirilisation institutionnalisée !
Les cinquante dernières années ont vu naître plusieurs générations d’occidentaux faibles, peureux, soumis.
L’histoire commence dès les premières années d’existence : on apprend à l’enfant à refuser la violence dans tous les cas, à ne pas se défendre et rapporter les méfaits de son agresseur à la maitresse, en espérant qu’il n’aura plus à subir les sévices de son camarade.
Les jeunes européens sont formatés à être des victimes, car l’autodéfense par confrontation physique est considéré comme mauvais.
Cette mentalité pacifiste est d’autant plus néfaste que les jeunes suisses se retrouvent de plus en plus confrontés au quotidien à des personnes issues d’autres cultures, d’autres mentalités, bien souvent beaucoup plus viriles et guerrières. C’est par ce glissement sociétal qu’aujourd’hui on ne peut qu’observer avec dépit les jeunes en proie à la racaille de tous horizons. Le jeune occidental castré baisse la tête à la vue de ses bourreaux, subit et rase les mur, victime de son éducation soixantehuitarde.
Il devient urgent de briser ces chaînes mentales. Nous n’avons à fléchir devant personne, nous sommes chez nous et le resterons. A nous de nous réunir et récupérer nos rues, poussés par le souvenir de nos ancêtres, redoutables guerriers.
Aux parents ou futurs parents : Apprenez à vos enfants la valeur du courage, de l’honneur et de la fierté, empêchez leur transformation en hippie insipide et punching-ball vivant !