Hypocrisie gauchiste : l’immigration massive.

Les non-sens et les contradictions des mondialistes n’ont aucune limite. Penchons-nous sur la question de l’immigration massive, présentée comme une chance pour nous tous. En réalité, en plus d’être totalement inutile pour résoudre les problèmes des migrants et de leurs pays, elle ne mènera qu’a la ruine de notre civilisation européenne. Nous allons donc voir dans cet article, les raisons invoquées pour justifier l’immigration et pourquoi elles sont indéfendables de tous points de vue, les dangers que le système actuel fait planer sur les occidentaux, et certaines des solutions défendues par Résistance Helvétique dans notre programme politique.

 

Si ces gens sont prêts à quitter leurs terres ancestrales, leur famille et leurs amis, c’est pour des raisons tout à fait valables nous dit-on. Soit. Analysons-les ensemble.

La cause la plus récurrente est la guerre. Mais expliquez-nous donc quels conflits meurtriers ravagent actuellement l’Afrique du nord, les Balkans, ou encore l’Érythrée ? Comment est-il concevable d’essayer de nous faire croire qu’on aide des réfugiés fuyant pour leur vie, alors que nos villes et nos centres de requérants sont remplis de migrants économiques venus ou ayant traversé des régions sûres ? Imaginons deux minutes ce qui se passerait en cas de conflit armé en Suisse : les hommes prendraient les armes, les femmes et les enfants seraient retranchés en lieu sûr, et si dans le pire des cas certains se voyaient contrains de quitter le territoire pour sauver leurs vies, ils iraient dans le pays en paix le plus proche et ne chercheraient sûrement pas à traverser la moitié du globe pour atterrir comme par hasard là où l’aide sociale est la plus élevée, et le mode de vie le plus éloigné. Et que se passe-t-il aujourd’hui ? La plupart des migrants sont des hommes jeunes, et les Syriens (où ceux qui prétendent l’être) ne représentent que 30% des demandeurs d’asile en Europe. Pour comprendre à quel point cette situation est aujourd’hui intenable, il n’y a qu’à voir ce qui se passe dans les camps en France : même entre eux ils n’arrivent pas à s’entendre ! S’ils sont incapables de laisser leur conflits inter-ethniques chez eux, ce n’est pas à nous de les supporter.

Nous avons ensuite la sempiternelle réplique : « C’est le contrecoup de la colonisation et de l’esclavage ». Que l’on soit d’accord ou pas avec la légitimité de la colonisation (en tant que nationalistes, celle-ci est à nos yeux absente), on ne peut pas nier les bénéfices qu’elle a apporté au continent africain : des hôpitaux, des vaccins, le rail, la possibilité d’exploiter leurs ressources, etc. Alors oui elle a été accompagnée de nombreuses exactions et événements condamnables, mais l’autre camp n’est pas innocent non plus. Le génocide des fermiers blancs sur le continent africain continue encore aujourd’hui et n’est pas dénoncé ! L’esclavage non plus n’est pas soutenable moralement, mais il serait bon de relever que la traite négrière de la part des arabes a été bien plus longue et fournie que celle des occidentaux. Les castrations et les massacres étaient monnaie courante, et les esclaves dans le monde musulman, dont le nombre est estimé en dizaines de millions, sont toujours d’actualité. Mais là par contre, nos ONG sont bien muettes. Les générations occidentales d’aujourd’hui n’ont plus rien à voir avec ces événements, et il serait grand temps d’arrêter la culpabilisation et l’ethno-masochisme qui sont encouragés même dans les manuels scolaires.

Les raisons économiques poussant à la migration ne sont pas recevables tant que le chômage existe dans nos pays, et que des familles suisses sont dans le besoin.

De plus, si nos dirigeants croient réellement que ces gens quittent leurs pays réellement poussés par la misère et les conflits, la solution la plus humaine serait de régler la situation là-bas. Au lieu de ça, la mode actuelle est de briser des familles en attirant chez nous des hommes valides. Ceci fait bien sûr le bonheur des passeurs qui n’hésitent même plus à couler leurs bateaux peu après le départ pour économiser de l’essence… Les naufragés savent pertinemment que les ONG et les gouvernements européens vont généreusement les chercher pratiquement sur les côtes libyennes. Au lieu de les attirer chez nous en leur faisant miroiter l’Eldorado européen, il serait beaucoup plus utile de laisser œuvrer tous ces ingénieurs à la mise en place de gouvernements stables dans leurs pays d’origine ! Chances pour l’Europe et pas pour l’Afrique ? Comme nous le savons, les gauchistes et la logique ça fait deux. Et ils sont apparemment toujours animés d’un certain esprit raciste, les poussant à imposer leur mode de vie aux autres pour soi-disant sauver le monde. Quand on y réfléchit, ils agissent ainsi exactement de la même manière que les colonisateurs qu’ils honnissent tant.

 

« Mais vous vous enrichissez sur leur dos, donc c’est à vous de les aider ! »

Les pays européens sont rackettés chaque année de plus de 56 milliards d’euros au nom de la sacro-sainte aide au développement (source : budget européen 2013), et la Suisse n’y échappe pas. On se dit qu’avec une telle somme, les choses doivent bouger sur place, et que l’autonomie est pour bientôt. Et bien non. Une énorme majorité de cet argent est soit utilisé pour rembourser les dettes de ces pays envers les banques européennes, soit pour garnir les poches des fonctionnaires locaux et des ONG qui ont très vite compris comment profiter de cette source intarissable de deniers. C’est un système mafieux très bien rôdé, qui garantit le paiement des intérêts aux banques privées, au final sur le dos des peuple européens. Et les personnes profitant de cet argent sur place ne sont pas assez bêtes pour scier la branche sur laquelle ils sont assis en aidant réellement au développement. En effet, si le pays va mieux, la contribution internationale ira en diminuant…

Il est aussi assez ironique de comparer le train de vie des populations africaines avec celui de leurs dirigeants. Ces derniers transpirent le fric, il n’y a qu’à voir les voitures de luxe possédées sur notre sol par l’entourage des ministres, ou les banquets gargantuesques organisés pour des anniversaires de dictateurs. Les dirigeants africains sont assis sur des montagnes d’or pendant que leur population meurt de faim, et ça serait nous les salops ? L’Union Européenne prévoit de pratiquement doubler cette aide au ‘’développement’’, alors qu’arrêter de verser de l’argent ce système corrompu par les intérêts personnels serait déjà un premier pas dans la bonne direction.

 

Pensons à nous un instant. La fécondité moyenne en Suisse et de l’ordre de 1,5 enfant par femme, ce qui est en dessous du seuil théorique de renouvellement de la population (2,05). La moyenne européenne est légèrement plus élevée (1,7), mais toujours sans atteindre ce taux plancher. L’Afrique quand a elle a un taux moyen de, tenez-vous bien, 4,7 ! Il est donc utopiste de croire que le flot de migrants va se tarir, bien au contraire. Avec quelles conséquences ? La population européenne ne cesse de baisser, pour s’établir aujourd’hui à 738 millions, 10% du nombre d’individus sur terre. Face à 1,2 milliard d’Africains en pleine explosion démographique et qui représentent déjà 16% de la population mondiale, il faudrait être aveugle pour ne pas voir où se situe la minorité à préserver !

Et au lieu d’encourager la natalité, nos gouvernements libéraux préfèrent pénaliser la famille traditionnelle en taxant impitoyablement les couples mariés. Sans parler de la non compatibilité de la vie de jeune mère avec des exigences professionnelles toujours plus élevées, et de la volonté de les attirer dans le système con-sumériste. Pire encore, l’ONU préconise une migration de remplacement pour palier au vieillissement de la population européenne¹ ! Où est la logique ?! Ces oligarques sont les fossoyeurs de l’Europe, et il est crucial pour notre survie que ce système s’effondre. Le Grand remplacement n’est pas un mythe, il est même organisé par ceux qui nient sa réalité !

La population d’origine étrangère en Suisse attend déjà 40% en prenant en compte les naturalisés. Seule consolation, les extra-européens sont encore minoritaires pour l’instant. Mais nous ne pouvons plus rester les bras croisés : la Suisse est un des pays européens ayant accueilli le plus de migrants par habitant, et nous avons un taux d’acceptation exceptionnellement élevé pour les demandes d’asile si l’on compare aux pays avoisinants (>79% selon Eurostat). Enoncer la stricte vérité vous paraît raciste ? Dans ce cas il faut vous faire soigner, car il suffit simplement d’ouvrir les yeux afin de voir que ce à quoi ils contribuent le plus, c’est au taux de criminalité et au remplissage des prisons ! Leurs cultures sont fondamentalement incompatibles avec la nôtre, c’est aujourd’hui extrêmement clair. Pour preuve, seul une très petite partie arrive à s’intégrer correctement, tandis que le reste navigue entre le communautarisme et le rejet total de notre société.

 

Le système de Dublin et les accords de Schengen, présentés à l’époque comme le summum de ce qu’il était possible d’imaginer sont aujourd’hui critiqués même par ceux qui les ont imaginés et mis en place. Ils sont lents, incohérents, et trop bureaucratiques pour être efficaces sur le terrain. N’importe quel dirigeant un tant soit peu couillu des pays de l’est peut refuser de suivre la répartition imposée par l’Union Européenne, et le problème se répercute alors sur les pays les plus soumis.

L’accueil des étrangers tel qu’il est pratiqué actuellement est totalement hypocrite, car il nous est présenté comme sûr et efficace, alors qu’il suffit de sortir de chez soi pour en voir ses limites et ses dangers. Sous couvert d’humanisme mielleux, il permet d’infliger une pression constante sur la population autochtone active qui se voit continuellement mise de côté. Au lieu de décourager les étrangers à immigrer chez nous, nos dirigeants font tout pour qu’ils se sentent attirés et leur faciliter le voyage, même en leur mentant. Cette manière de faire est intenable pour nous et c’est une attitude ignoble envers les migrants !

Mais qui donc tire des profits de cette situation ? Pour les gauchistes, éternels ethno-masochistes européens, se voir entourer d’allochtones permet de soulager leur conscience de méchants colonisateurs-esclavagistes-privilégiés-blancs. Hypocrites aux possible, ils sont prompts à critiquer les entreprises qui tentent par tous les moyens d’attirer les jeunes diplômés, alors que de l’autre côté ils soutiennent la fuite des cerveaux au niveau du continent africain tout entier. La droite est beaucoup plus retors. Les libéraux ont très vite compris les grands avantages que leur amenait une population beaucoup plus permissive quant aux conditions de vie et de travail. Aidés par les grandes puissances médiatico-financières, ils ont vite contaminé le reste de l’échiquier politique et la doxa afin d’assouvir leur infâme et dangereux besoin de croissance infinie. Ainsi, toute personne s’opposant à ce système esclavagiste moderne se verra étiquetée ‘’extrémiste’’, et pour couronner le tout, on utilisera bien sûr abondamment la reductio ad Hitlerum.

 

Il est aujourd’hui grand temps de mettre fin à tout ce cirque, et la seule solution qui s’offre à nous est la rémigration des inadaptés. Vous pouvez demander à n’importe quel étranger bien intégré, il sera entièrement d’accord car il est tout à fait conscient que cette manière de faire est la seule issue au problème de méfiance envers lui. En effet, si les fauteurs de troubles sont absents, l’image du reste de leurs communauté en bénéficiera.  Et pour que cette méthode soit efficace, elle doit être accompagnée impérativement du rétablissement des contrôles aux frontières et d’un durcissement de la loi pénale. En outre, les demandeurs d’asile acceptés chez nous doivent être pris en charge dans des centres étatisés, et le retour dans leur pays d’origine doit avoir lieu sitôt la situation sur place pacifiée. Afin de lutter efficacement contre l’afflux de faux réfugiés, l’accueil des vrais doit se faire dans les pays avoisinants dans la limite du possible, et si besoin est, uniquement dans des pays culturellement compatibles. Nous avons déjà assez de problèmes domestiques sans devoir en plus gérer des conflits civilisationnels. La Suisse étant le pays d’Europe avec la densité de population la plus élevée (536 habitants / km2 si l’on tient compte du fait essentiel que seul 38% de notre territoire national est habitable), il est donc primordial que le droit d’asile soit réservé aux pays voisins du nôtre. Dans le même temps il est bien entendu nécessaire que les gouvernements occidentaux cessent de prendre part aux conflits extra-européens, et que les ventes d’armes s’arrêtent à nos frontières continentales.

Un autre problème que soulève la venue de personnes sans papiers depuis le fin fond du globe est qu’il est impossible de savoir qui ils sont réellement. Nombre d’entre eux se proclament Syriens, alors qu’ils viennent en réalité d’un tout autre endroit, ou alors ils peuvent être des combattants djihadistes infiltrés… Une partie d’entre eux est démasquée par les traducteurs et autres contrôleurs, mais qu’en est-il du reste ? Qui sait combien d’entre eux passent chaque jour à travers les mailles du filet et représentent un danger pour vous et votre entourage ?

L’aide au développement doit être réduite afin de pouvoir aider prioritairement les citoyens suisses dans le besoin, et comme il est malheureusement utopique de penser que des problèmes qui durent depuis des dizaines d’années se règleront tout seuls, le contrôle de son utilisation sur place doit être impérativement renforcé.

 

La libre circulation des personnes (au sens large du terme) est à remiser au même endroit que celles des biens et des capitaux, c’est à dire au fond d’un grenier où plus personne ne mettra jamais les pieds !

RH 63

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