La droite désigne avant tout l’aile libérale de la politique suisse. Par notre volonté de fonder un véritable état social, débarrassé du joug des Banksters et de la dictature de la croissance, nous combattons naturellement le libéralisme et le capitalisme spéculatif.

La droite économique fait son œuvre immigrationniste peut-être encore mieux que la « gauche », par sa promotion de l’économie de marché mondialisée. De cette façon, on met en concurrence un ouvrier suisse avec un ouvrier chinois, thaïlandais ou africain. On pousse ainsi les entreprises suisses à se délocaliser pour maximiser ses profits et rester compétitif par rapport à ses concurrents de l’autre bout du monde.

Un monde sans frontières, sans nations et surtout sans peuples enracinés, des hommes déplaçables au gré du grand Capital. Derrière ces faux discours vaguement patriotes du genre « Si les étrangers travaillent Ils sont les bienvenus », Voilà la vraie finalité vers laquelle les libéraux souhaitent nous emmener.

L’appétit du gain a fait perdre toute forme de raison aux terroristes à col blancs, disciples du veau d’or.

Si un parti suisse devrait être catalogué d' »extrême droite », ce n’est qu’a un parti comme le PLR que l’honneur devrait revenir.

Résistance Helvétique s’engage pour mettre sur pied la caisse unique, la nationalisation de la BNS et des CFF, un plan de soutien pour les paysans et la maternité suisse. Autant de projet de gauche donc…

Nous aspirons à édifier une Nation saine, stable et forte, En coopération avec nos camarades nationalistes de pays voisins, reconstruisons la grande Europe des Nations !