Les nuits lausannoises, de pire en pire.

Nous avions déjà attiré plusieurs fois l’attention sur l’état de la ville de Lausanne en général, et du centre-ville en particulier. La rue de Bourg est une rue marchande, connue pour ses boutiques de luxe. Elle devient malheureusement de plus en plus connue pour se transformer le soir en Cour des Miracles. Les dealers africains y font régner la terreur. Et la nuit de samedi à dimanche a donné lieu à de nouveaux incidents. Le plus visible est l’égorgement d’un Érythréen par un Somalien.

Ceci n’est pas une péripétie. Juste un signe, une pointe d’un iceberg que l’on n’ose pas nommer. Lausanne est bel et bien en voie de tiers-mondisation, comme l’ensemble de notre canton, de notre pays et de notre continent.

Des millions de « migrants » extra-européens s’engouffrent dans les portes grandes ouvertes de notre vieille Europe en dormition. Ils importent avec eux leurs us et coutumes, mais aussi leurs rancœurs et leur avidité, leurs revendications, leur haine et leur violence.

Ils continueront d’affluer, aussi longtemps que nos soi-disant élites politiques et intellectuelles continueront de nier les réalités et refuseront de prendre les mesures nécessaires. Les plus urgentes sont de fermer les frontières et d’expulser sans délai les clandestins, les « requérants » déboutés et les criminels.

Dans une semaine, les Vaudois auront à voter pour notre Conseil d’État.

Notre mouvement n’est bien sûr à la remorque d’aucun parti politique. Il ne se reconnaît par ailleurs dans la ligne d’aucun des candidats en présence. Toutefois, notre sens des responsabilités nous incite à nous prononcer sur cette votation. Nous n’avons aucune sympathie pour une Isabelle Chevalley, qui affirme à la presse « s’allier à l’UDC vaudoise mais pas à Roger Köppel ». Nous avons déjà plus de sympathies pour M. Jacques Nicolet, agriculteur, municipal et Conseiller national, homme de bon sens, qui a aussi montré un certain courage dans ses propos. Mais ce qui nous pousse à appeler à voter pour ces deux candidats, c’est que face à eux, vous trouverez Cesla Amarelle et Béatrice Métraux! Une fanatique du multiculturalisme, pour qui la Suisse ne signifie rien d’autre qu’un passeport, une Conseillère D’État sortante, responsable depuis des années du Département des Institutions et de la Sécurité (qui se porte si bien dans notre Canton, comme chacun le sait).

Par conséquent, nous appelons à faire barrage à Cesla Amarelle et Béatrice Metraux.

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