Europe 2050: Pourquoi tu n’as rien fait, grand-papa ?

Imaginez-vous dans quelques décennies, tentant d’expliquer à vos descendants comment notre civilisation a été détruite.

Trahison. Perte des valeurs. Soumission.

De nombreux choix s’offrent à vous, mais ce n’est pas la partie la plus compliquée. La question tant redoutée vient ensuite. Qu’avez-vous fait pour empêcher ça ?

  • Qu’avez-vous fait lorsque nos centres-villes se sont vus peu à peu envahis par des dealers subsahariens ?
  • Qu’avez-vous fait lorsque les mafias de l’est se sont emparées petit à petit de nos commerces, de nos bistrots, reléguant les Suisses de souche au rang de simple main-d’œuvre, sans ambition ni avenir ?
  • Comment avez-vous lutté contre l’instigation de la bien-pensance dans toutes nos institutions publiques ?
  • Avez-vous inculqué à vos enfants une éducation correcte, et la connaissance de nos valeurs traditionnelles ?
  • Par quel moyen avez-vous empêché que des traitres et des corrompus soit réélus à la tête de notre pays ?
  • Avez-vous combattu ceux qui tentaient de s’approprier notre territoire, et d’effacer notre culture ?

Grands adorateurs des révolutions, vous bavez devant l’indépendance des États-Unis, vous jouissez lorsque les mots Révolution Française résonnent à vos oreilles, vous défendez les révoltés aux quatre coins du monde, mais lorsque l’ennemi se trouve devant vous, lorsque vous avez la possibilité de changer le cours de l’histoire à votre tour, vous vous terrez dans votre petit confort personnel, choisissant la couardise plutôt que de vous affirmer au grand jour.

Misérables traîtres.

Vous ne méritez pas le cadeau que la vie vous a fait. Regardez autour de vous. Tous aimeraient prendre votre place, et ce n’est plus qu’une question de temps avant qu’ils n’y parviennent. Nous sommes attaqués de l’extérieur, c’est un fait, mais la plus grande menace vient de l’intérieur de nos frontières. Tous ces mondialistes, ces bien-pensants égoïstes, ils ne voient pas plus loin que les mensonges avec lesquelles ils martèlent votre esprit à longueur de journée. « Accueillez toute la misère du monde, repentez-vous d’être nés blancs, hétérosexuels et porteurs de vraies valeurs, acceptez de n’être que des amas de chair réduits à une simple équation économique »

Faites-le, et vous vivrez tranquilles. Refusez de vivre en esclaves, et vous serez jetés en pâture à tous les vautours associatifs qui se nourrissent de la peur d’être mis au banc de la société. Mais quelle société ? Celle voulue par quelques têtes mal faites et trop sûres d’elles ? Cette société égalitaire jusqu’au suicide collectif, tolérante au point de bénir son bourreau et progressiste jusque dans la tombe ? Avouez que vous la refusez. Avouez que vous regrettez l’époque dans laquelle aimer son pays n’était pas considéré un acte fasciste, quand les sacrifices faits par vos ancêtres n’avaient pas perdu toute signification, et quand vous pouviez vous absenter sans fermer votre porte à clef, car vous aviez confiance en vos concitoyens.

Si c’est la peur du regard d’une telle société qui vous retient, alors vous ne méritez pas d’en sortir, car vous creusez votre propre tombe. Soit, c’est votre choix. Vivez en couards, profitez de votre existence misérable, et continuez à fantasmer sur les grands noms qui ont fait l’histoire car vous n’en ferez jamais partie. Vous êtes condamnés à ne représenter que la lie de l’humanité, la seule chose qu’on retiendra de vous est que vous n’avez pas eu le courage d’affronter vos ennemis extérieurs, et encore moins de lutter contre vos démons intérieurs.

Mais si maintenant vous êtes prêts à changer, et à prendre enfin votre destin en mains, ce n’est pas (encore) trop tard. Partout les mentalités commencent à changer, et des communautés de résistants se forment peu à peu. Les petits ruisseaux font les grandes rivières, et n’importe lequel de vos gestes à son importance. Commencez par vous-mêmes, résistez dans votre quotidien, et ouvrez les yeux à vos amis, il y a de très grandes chances qu’ils partagent vos idées. L’omniprésence des mondialistes dans notre quotidien nous portent à croire qu’ils sont la norme, alors qu’ils ne représentent qu’une exception.

Allez-vous laisser une minorité vous dicter votre façon de vivre ? Lâches. Vous êtes chez vous, et vous avez le droit de vivre selon les us et coutumes de vos ancêtres qui ont façonnés ce pays, le payant parfois au prix de leur vie !

Alors résistez, et soyez fier de ce que vous pourrez raconter à vos petits-enfants. Rejoignez-nous, vous n’êtes plus tout seuls.

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RH63

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