Parade des sexualités non reproductives à Bulle

Comme chaque été désormais, la communauté LGBT, opprimée comme chacun le sait, mais hyper sponsorisée malgré tout¹, nous éduque à sa cause par le biais de leur « marche des fiertés ».
Pourquoi tous ces soutiens (UBS, Loterie Romande, Henniez, etc.) ? Et surtout, si ils se soucient tant des inégalités dans nos sociétés, pourquoi ces sponsors n’ont-ils pas soutenu avec autant de ferveur les manifestations contre les discriminations sanitaires des deux dernières années ? Mystère… Mais revenons à notre sujet.

Les lobbys gai maintiennent l’illusion d’une oppression et se victimisent en cherchant des pseudo-problèmes afin de maintenir leur fond de commerce. Mais en réalité, les homos sont déjà libres de mener leurs vies comme bon leur semble.
En effet, notre civilisation occidentale est la seule à permettre aux personnes ouvertement homosexuelles de vivre une vie accomplie : santé mentale et physique, métiers et professions ainsi que vie en société sont pleinement possibles pour celles-ci.
Ils n’ont sans doute jamais eu, dans l’Histoire connue, des conditions d’existence aussi favorables que maintenant.
Si ces lobbys étaient vraiment préoccupés par l’oppression des homosexuels, une de leur priorités serait de militer fermement contre l’immigration d’origine africaine et moyen-orientale, immigration drainant une religion et des coutumes en opposition directe avec la liberté sexuelle qu’ils chérissent tant…
Au contraire, on a pu voir dans plusieurs gay prides, lors de l’invasion migratoire vers 2015, les slogans « refugees welcome » : quel rapport ? Et surtout quel intérêt ?! car ils encouragent leur propre persécution par l’invasion de notre civilisation par l’islam.

En rapport avec le sujet, nous reproduisons ci-dessous une réflexion du regretté Guillaume Faye :

Gay Pride : l’intitulé de la parade homosexuelle, qui fait maintenant partie des rites et des droits imprescriptibles en Occident (sauf en Russie, où règne encore un certain bon sens), cette Gay Pride, autrement dit la fierté homosexuelle, est parfaitement claire : on fait semblant d’être fier de son homosexualité, d’en fournir la preuve, par une fête démonstrative, provocatrice et volontairement vulgaire. Mais pourquoi être « fier» d’être homo ou bisexuel ? Non seulement, cela démontre ce besoin de se positionner en sur-normalité noble, mais cela trahit aussi un profond infantilisme. On peut être fier de ce qu’on est devenu, de ce qu’on fait, de ses capacités, mais se déclarer fier de son orientation sexuelle, c’est ravaler bien bas la fierté. De plus, se déclarer ouvertement « fier de soi » prouve, en psychologie, qu’on ne l’est pas et qu’il s’agit d’une affirmation autopersuasive.
Cette fierté affichée par les homosexuels masculins nous renseigne sur deux points : d’abord, un sentiment, assez haineux de frustration renversée. S’étant estimés opprimés, les homos veulent maintenant, non plus s’affranchir (ils le sont), mais s’imposer et s’afficher comme supérieurs et dominateurs, parfaitement bien dans leur peau (le sont-ils vraiment ?), selon la même logique que les mouvements noirs américains frustrés qui avaient pris le slogan Black is beautiful. Alors qu’ils ont acquis (ou sont en passe d’acquérir) tous les droits dont celui de se marier, alors que leurs lobbies s’activent pour obtenir des privilèges (coteries, cooptations, préséances, etc.), ils entendent occuper l’espace public, pour montrer leur « courage » de s’afficher comme homosexuels. Or, ils savent bien que nul ne les opprime, que les lois les protègent de toutes les discriminations et que, même, une loi liberticide punit l’« homophobie », c’est-à-dire vise à les prémunir contre toute critique […].

Guillaume Faye, Sexe et dévoiement, Éditions du Lore, 2011, chapitre 2 : La sacralisation de l’homosexualité, page 63

1 Liste des sponsors officiels en bas de page bullepride.ch

RH98

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