Crise migratoire et féminisme.

À la suite des agressions sexuelles du Nouvel-An en Allemagne et dans de nombreuses autres villes européennes, la seule réponse des politiques a été la mise en place de cours de respect des femmes pour les « réfugiés ».
Mais personne ne se demande s’il est pertinent de se laisser envahir par des centaines de milliers d’allogènes dont la culture est incompatible avec la nôtre.

Contrairement à d’autres peuples, qui n’ont pas de scrupules à protéger leur identité et défendre leur terre, les Européens ont perdu toute dignité ainsi que leur esprit de conservation au nom de l’utopie bisounours du « vivre ensemble ».
On croit naïvement que tout le monde est fondamentalement gentil et tolérant, que toutes les cultures partagent nos valeurs. Que si on est gentil et bienveillant envers les autres, ils le seront eux aussi. Grave erreur…

L’absence de réaction des peuples européens face aux problèmes auxquels ils sont confrontés pourrait s’expliquer, en partie du moins, par la prédominance des valeurs véhiculées par le féminisme.

Depuis la fin des années soixante, la culture européenne est marquée par la dévirilisation des hommes. Notre société est imprégnée par les valeurs du féminisme égalitaire, qui prône l’égalité entre hommes et femmes par la disparition des genres et par la négation des différences propres à chaque sexe.
On inculque aux garçons des valeurs féminines, tout en réprimant leur virilité et leur combativité. Tant et si bien que les valeurs telles que le courage, la force, le dépassement de soi, l’honneur, ont disparu.
L’homme moderne – européen – se doit d’être attentionné, compréhensif, sentimental. Un garçon un peu trop fier, trop revendicatif, est généralement puni. Celui qui va pleurer dans la jupe de la maîtresse est réconforté. C’est un peu caricatural, mais symbolique de notre société. Cette féminisation de notre société a généré des hommes peu sûrs, mous, déconnectés de leur identité et de leur masculinité.

La conséquence est flagrante au niveau politique. Les gouvernements européens, menés par « maman » Merkel – et chez nous par Sommaruga – nous imposent une politique maternelle de solidarité et de compassion. Alors qu’il nous faudrait une politique d’hommes forts, qui agiraient pour la protection de leur pays comme le ferait n’importe quel peuple censé qui fait face à une invasion.

L’approche féministe de la crise migratoire est suicidaire. Privilégier la compassion, l’attention et l’accueil, au détriment de la défense de nos terres et de notre culture, conduira l’Europe à sa disparition.

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