L’Ethnonationalisme.

Infatigable militant et défenseur des intérêts des blancs Européens, Arthur Kemp a écrit – il y a quelque temps déjà – un petit livre remarquable, court et concis, sur l’ethnonationalisme (voir référence en fin d’article).

Mais de quoi s’agit-il?
« Le nationalisme ethnique est un nationalisme qui définit la nation en termes d’ethnicité. »
En d’autres termes, l’appartenance à la nation est basée sur l’hérédité (la loi du sang) et la culture commune à un peuple et ses ancêtres.
L’autre élément fondamental de l’ethnonationalisme étant bien sûr la notion de territoire, indispensable au développement et au bien-être d’un peuple.

Les principes qui en découlent sont évidents : tout groupe ethnique a droit à l’autodétermination (un droit par ailleurs consacré par la charte des Nations unies, article premier) et a le droit de protéger son peuple, ainsi que sa culture, son identité et ses traditions, sur son propre territoire. Ce qui implique le droit de se protéger contre toute invasion, domination ou submersion par d’autres groupes.
Ces principes sont évidemment valables, et de manière égale, pour tous les peuples du monde.

L’ethnonationalisme est donc en totale opposition avec l’internationalisme et son utopie d’un monde unique et sans frontières, un monde sans identité ni diversité. Mais il s’oppose aussi au « nationalisme civique » qui reconnait l’existence d’identités nationales mais qui considère en même temps que n’importe qui, par « assimilation », peut devenir citoyen d’un pays, peu importe son origine.

Ce qui est frappant, c’est que personne ne s’oppose à ces principes lorsqu’il s’agit de peuples extra-européens. Il y a quelques décennies, nul n’aurait osé remettre en question la décolonisation et le droit de ces peuples à l’autodétermination et à leur indépendance. De nos jours, tout le monde – gauchistes en tête – soutient le combat des Tibétains pour la défense de leur peuple contre l’invasion des Hans, ou la lutte des peuples d’Amazonie pour préserver leurs territoires et leur mode de vie.
Mais lorsque des Suisses, des Français ou d’autres Européens se dressent contre la disparition de leur peuple ce ne sont que de méchants racistes.

Pourtant, qu’y a-t-il de mal à vouloir protéger et préserver son peuple et son identité? C’est un fait, les peuples européens sont en voie de disparition et seront, dans un futur proche, en minorité sur leurs propres terres. En raison de l’immigration, mais aussi par le taux de natalité nettement supérieur des populations allogènes.

Nous encourageons vivement toutes les personnes concernées par la survie de leur peuple à lire ce petit livre.

Comme le dit Arthur Kemp :

« Si les différents peuples du monde décident tous que préserver leur identité propre est plus important que le « melting pot mondial », alors une aube nouvelle se sera levée.
Contrairement à ce que propagent les internationalistes, l’idéologie de l’ethnonationalisme est le véritable porte-drapeau de la diversité, car qu’est-ce que la diversité sinon la valorisation et la préservation de chaque identité?
Et quel meilleur moyen d’entretenir et de protéger les identités de chacun que de les préserver, à l’abri de l’oppression et de l’exploitation, ainsi que de la submersion dans une élite internationaliste?
Les internationalistes, qui cherchent à détruire les identités nationales, à submerger les races et à forcer tout le monde à se fondre dans une masse uniforme et identique, sont en fait les vrais ennemis de la diversité. »

Arthur Kemp, « Qu’est-ce que l’ethnonationalisme? » (2016), éditions Akribeia

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