Texte de Théodore J. Berseth, Candidat Action Nationale – Démocrates Suisses Vaud au CN , liste 11

L’immigration est une véritable arme de destruction massive !

Karl Marx le disait déjà : « …l’immigration est le bras armé du capitalisme ».

L’appétit de bénéfices étant sans limites, pour contracter encore les coûts, on a fait appel à l’immigration, grâce à la collusion entre le pouvoir politique et le pouvoir économique.

En comparaison avec un salarié suisse, un immigré fraîchement débarqué est toujours meilleur marché et moins revendicateur. C’est pourquoi le système économique réclame toujours plus d’immigrés. Il fait son profit sur un flux qui doit être toujours renouvelé. Et peu importe le taux de chômage…

Depuis les années 90, une nouvelle vague de populations importées vient concurrencer très efficacement les immigrés légaux, ce sont les clandestins, qui par leur situation acceptent n’importe quelles conditions de travail jusqu’à l’obtention de leur régularisation.

Le 9 février 2014, le peuple donne un signal clair pour mettre un terme à l’immigration de masse….message mal accepté par l’oligarchie politico-économique et médiatique !

En 2015, le message d’Angela Merckel est clair !

A la demande de l’économie allemande elle ouvre les vannes et s’apprête à accueillir 500’000 demandeurs d’asile bien formé !
Alors qu’un auparavant elle fustigeait le laxisme des pays du Sud de l’Europe ! Quel pillage de cerveaux !

Et avec son complice Juncker elle exige de la Suisse que nous fassions de même sous la menace de l’annulation des accords de Schengen (quand nous disions qu’il s’agissait d’accords coloniaux !!!).

Le refrain est toujours le même d’Economie suisse à la gauche et les arguments sont scandés à l’unissons : l’immigration est :

  • une chance pour la Suisse
  • un nécessaire apport de main d’oeuvre pour faire  » ce que les Suisses ne veulent PLUS faire  »
  • les  » jeunes  » chez lesquels le taux de chômage avoisine les 15% allaient payer nos retraites
  • les immigrés rapportent plus qu’ils ne coûtent
  • les prisons abritent 80 % de  » chances  »,

Que des mensonges éhontés !

Les Suisses veulent bien faire n’importe quel travail, mais ils veulent être payés
décemment et en ont assez de faire l’aumône.

Quant à nos retraites, dans le système actuel, elles ne risquent pas d’être payés par des chômeurs ou des allocataires chroniques.

Enfin dire que l’immigration rapporte est un mensonge ́. Tout récemment un ancien expert du FMI (M. Pince) a démontré que l’immigration coûte plus qu’elle ne rapporte.
Il n’y a qu’une politique possible en l’état. C’est la politique de re-migration.

Il faut non seulement stopper mais inverser les flux migratoires en provenance des rives sud et est de la Méditerranée et de l’Asie afin de préserver notre identité.  »

Organiser le retour des immigrés non européens chez eux, c’est impossible, c’est trop tard…  » Ce sont les propos tenus par les timorés qui regardent disparaître la Suisse avec chagrin, mais sans rien faire. Rien n’est plus faux.

Quelques mesures législatives de bon sens sont à prendre :

  • mettre un terme au droit du sol (naturalisation facilitée, etc…)
  • abroger le regroupement familial
  • restaurer l’éloignement des étrangers délinquants sans laxisme
  • rendre au droit d’asile sa spécificité politique
  • appliquer la préférence nationale concernant les emplois, les logements, les aides sociales.

Racisme ? Xénophobie ? Non !

L’appartenance à la communauté nationale engendre des devoirs et procure des droits et des avantages, qui, par définition ne sont pas accordés à d’autres communautés.

Commençons par compter les immigrés et qui sont illégalement sur notre territoire ou qui contreviennent gravement à la loi : on compte au bas mot 100’000 clandestins, plus de 5’000 incarcérés étrangers ou d’origine étrangère, sans compter tous les délinquants récidivistes parfaitement identifiés ( » connus des services de police  ») qui alimentent les faits divers et 14’000 NEM (requérants déboutés).

Sans parler des activistes islamistes… On dépasse très largement les 100’000 personnes qui doivent être reconduits à la frontière sans délai. Commençons par là.

Concernant les immigrés chômeurs en fin de droits, organisons ensuite leur retour humainement. Tout cela est possible, la preuve : si plus de 100’000 personnes ont put passer plus ou moins clandestinement la frontière dans un sens, on imagine mal qu’un gouvernement ne puisse organiser un retour à hauteur de 100’000 personnes dans l’autre sens.

Mais surtout nous devons reconquérir notre territoire par une natalité dynamique et une vraie politique d’aide aux familles suisses.

Pour être efficace, une politique familiale doit tenir compte du désir des jeunes couples de bénéficier d’une qualité de vie comparable à celle des aînés ; et en particulier du désir pour la femme de conserver une activité hors du foyer. Mais ce n’est pas le sujet de cet article.

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La démographie est un secteur plus stratégique encore que celui de l’énergie. On ne s’achète pas un nouveau peuple comme on s’achète des barils de pétrole et l’importation de millions d’immigrés équivaut à un suicide.

Comme il y a une guerre économique, il y a une guerre démographique. Mener ce combat, résister à l’immigration, défendre notre civilisation et notre identité n’est certainement pas un combat d’arrière-garde.

Ce combat n’est pas perdu d’avance, si nous avons l’audace de balayer la classe politique qui nous mène à notre perte. Il faut renoncer au palliatif inadapté qu’est l’immigration et oser faire de la natalité et de la formation une priorité nationale. À nous de trouver en Suisse, les nouveaux dirigeants qui auront à coeur de défendre nos identités et nos emplois.

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